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PAYS DE LA LOIRE

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A dix-huit ans j'aimais bien ma maîtresse


Cette Pièce musicale inédite a pour titre "A dix-huit ans j'aimais bien ma maîtresse". Elle provient de Saligny.

Détails de l'archive

Titre A dix-huit ans j'aimais bien ma maîtresse
Origine du titre : interprète
Localisation Saligny (Plus d'informations sur Wikipedia)
Vendée (Plus d'informations sur Wikipedia)
France (Plus d'informations sur Wikipedia)
Informateur(s) Petion Henriette (Elise Marie Henriette) - Naissance : Brouzils (Les) 03/05/1918

Oeuvre

Oeuvre Référence Ethnodoc : EA-00523 - Quand sera le jour où j'aurai tes amours
Laforte : non-référencée - *
Coirault : Quand s'ra le jour où j'aurai tes amours - 004715
Thème : 0047 - Le mariage - I Repoussées ou agréés : demandes en mariage
Résumé : Un beau dimanche, j'men vais voir ma maîtresse, au coin du feu nous étions tous les deux, je lui ai dit : Ma petite mignonne, quand s'ra le jour où j'aurai tes amours ? Elle l'invite à demander à son père. Refus : ma fille est tro jeunette.
Mots Clé : fontaine(s) - incendie, feu - amour(s), amourettes, - fille(s), fillette(s) - maîtresse -
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Résumé Un père refuse que sa fille se marie avec son nouvel amant
Expression(s) voix seule ;
Usage d'après l'informateur circonstance : bachique ;
Nombre de couplets 7
Incipit du couplet A 18 ans, j'aimais bien ma maîtresse / Mais à présent je n'ai que du malheur
Texte saisi Oui
Texte de la chanson A DIX-HUIT ANS J'AIMAIS BIEN MA MAITRESSE A dix-huit ans j'aimais bien ma maîtresse Mais à présent je n'ai que du malheur L'on dit partout que le monde m'y délaisse Ma bien-aimée m'a refusé son coeur J'étais pourtant hier au soir auprès d'elle Auprès du feu nous causions tous les deux Je lui disais ma charmante maîtresse Quand viendra le jour ou j'aurais tes amours Elle me répond d'un air tendre et aimable Mon cher amant ce sera quand vous voudrez Mais pour celà parlez-en à mon père Si papa le veut bien tout celà ira bien Il se rendit avec elle chez son père Assurément pour le lui en parler Galant, galant ma fille elle est trop jeune La marier je puis m'en dispenser Là je m'en fus d'un cabaret dans l'autre En regrettant ma sincère bien-aimée J'ai tant pleuré, j'ai tant versé de larmes Que trois p'tits ruisseaux auraient bien pu couler Trois p'tits ruisseaux forment une grande rivière Trois p'tits moulins auraient pu y tourner Un pour la seigle, l'autre pour le froment Celui de ma mie qu'est cent fois plus joli Toutes les filles qu'ont la figure si belle Sont au sujet d'un grand changement Elles voudraient bien ressembler à la lune Changer d'amant treize fois dans un an
Genre strophique

Propriété et enquête

Informateur(s) Petion Henriette (Elise Marie Henriette) ;
Preneur(s) de son Bertrand Jean-Pierre ;
Enquête Arexcpo en Vendée
Collection(s) Arexcpo en Vendée ;
Fonds Arexcpo en Vendée ;

Conservation numérique

Conservateur(s) OPCI-EthnoDoc ;
Support audio 02.24.08.99 -
Date : 24 août 1999
Compteur de la séquence Durée : 00:01:37
Plage de la séquence 25

Inventaire et consultation

Clé du document 112776
Inventaire 1999 - 265
Cote de consultation RADdO 085_01_1999_0265mi
Catégorie Pièce musicale inédite (chanson, musique,...)
Niveau de consultation consultable
Responsable de saisie Ethnodoc
Format de consultation MP3 (.mp3)
Lien de l'extrait / miniature numérique https://raddo-ethnodoc.com/archive/112776 [QR Code]
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