Détails de l'archive
Titre |
A dix-huit ans j'aimais bien ma maîtresse
Origine du titre : interprète |
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Mots Clé | maîtresse ; Lune, lunaire ; moulin, minoterie, meunerie, ; délaissé(e) ; mariage : mari, marié(e), marier ; jeunesse, jeune, ; froment ; malheur, malheureux(se) ; fille(s), fillette(s) ; cabaret, cabaretier(ère) ; père, papa, grand-père ; rivière, fleuve, cours d'eau, ruisseau ; pleur(s), pleurer ; ami(s)(e)(es), mie ; amant(e) ; amour(s), amourettes, ; |
Localisation |
Lucs-sur-Boulogne (Les)
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Vendée (Plus d'informations sur Wikipedia) France (Plus d'informations sur Wikipedia) |
Informateur(s) |
Douillard
Henri (Eugène Marcel)
- Naissance :
Beaufou
04/11/1929
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Oeuvre
Oeuvre Référence |
Ethnodoc :
EA-00523
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Quand sera le jour où j'aurai tes amours
Laforte : non-référencée - * Coirault : Quand s'ra le jour où j'aurai tes amours - 004715 Thème : 0047 - Le mariage - I Repoussées ou agréés : demandes en mariage Résumé : Un beau dimanche, j'men vais voir ma maîtresse, au coin du feu nous étions tous les deux, je lui ai dit : Ma petite mignonne, quand s'ra le jour où j'aurai tes amours ? Elle l'invite à demander à son père. Refus : ma fille est tro jeunette. Mots Clé : fontaine(s) - incendie, feu - amour(s), amourettes, - fille(s), fillette(s) - maîtresse - Voir la liste des oeuvres |
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Résumé | La tristesse d'un homme délaissé par sa maîtresse |
Expression(s) | voix seule ; |
Nombre de couplets | 7 |
Incipit du couplet | A 18 ans, j'aimais bien ma maîtresse / Mais à présent je n'ai que du malheur |
Texte saisi | Oui |
Texte de la chanson | 085_01_1992_0183 A dix-huit ans j'aimais bien ma maîtresse A dix-huit ans j'aimais bien ma maîtresse Mais à présent je n'ai que du malheur On dit partout que le monde m'y délaisse Ma bien aimée m'a refusé son cœur J'étais pourtant hier au soir auprès d'elle Au coin du feu nous causions tous les deux Je lui disais ma charmante maîtresse Quand viendra l'jour où j'aurai ton amour Elle me répond d'une voix douce et aimable Mon bien aimé ce s'ra quand vous voudrez Mais pour cela parlez-en à mon père S'il en convient pour moi je le vux bien Le lendemain je m'en fus chez son père Assurément c'était pour lui en parler Il me répond ma fille est bien jeune La marier je peux l'en dispenser Alors j'm'en fus d'un cabaret dans l'autre Tout en r'grettant ma chère bien aimée J'ai tant pleuré, j'ai tant versé de larmes Que trois p'tits ruisseaux auraient bien pu couler Trois p'tits ruisseaux font une grande rivière Trois p'tits moulins pourraient bien y tourner L'un pour le seigle et l'autre pour le froment Celui d'ma mie qu'est cent fois plus joli Toutes les filles qui ont la figure si belle Sont sujettes à de grands changements Elles voudraient bien ressembler à la lune Changer d'amant douze fois dans un an |
Coupe | F M F M |
Nombre de pieds | 10 10 10 10 |
Genre | strophique |
Propriété et enquête
Informateur(s) | Douillard Henri (Eugène Marcel) ; |
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Fonds | Arexcpo en Vendée ; |
Conservation numérique
Conservateur(s) | OPCI-EthnoDoc ; |
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Support audio |
02.07.05.92
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Compteur de la séquence | Début : 085/112 - Durée : 00:01:35 |
Inventaire et consultation
Clé du document | 110321 |
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Inventaire | 1992 - 183 |
Cote de consultation RADdO | 085_01_1992_0183mi |
Catégorie | Pièce musicale inédite (chanson, musique,...) |
Niveau de consultation | consultable |
Responsable de saisie | Ethnodoc |
Format de consultation | MP3 (.mp3) |
Lien de l'extrait / miniature numérique | https://raddo-ethnodoc.com/archive/110321 [QR Code] |