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CARACTÈRE[S]

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Berluzia


Cette Pièce musicale inédite a pour titre "Berluzia". Elle provient de Péault.

Détails de l'archive

Titre Berluzia
Origine du titre : interprète
Localisation Péault (Plus d'informations sur Wikipedia)
Vendée (Plus d'informations sur Wikipedia)
France (Plus d'informations sur Wikipedia)
Informateur(s) Mallet Camille (Ernest Henri) - Naissance : Saint-Michel-Mont-Mercure 22/05/1923 - Apprentissage à Péault

Oeuvre

Oeuvre Référence Ethnodoc : JPB-EA-00507 - Le valet gagé chez Berluzia
Laforte : non-référencée - VI,
Coirault : non-référencée - 2137**
Thème : 2137 - Lettrées patoisantes
Résumé : Quand un animal crève les Berluzeau, ils le font manger au valet. C'est le tour de la bourrique, puis la belle-mère tombe malade. On préfère manger les moutons, les chèvres mais s'il faut manger la belle-mère, c'est une indisgestion.
Mots Clé : mère, maman, grand-mère - âne, ânesse, baudet, mulet - gage(s), gagé(e) - valet, laquais - ovin(s) : mouton(s), agneau(x) - médecin(s), médecine - maison(s) -
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Résumé Valet employé chez un patron avare
Expression(s) voix seule ;
Usage d'après l'informateur gestuel : travail ;
Nombre de couplets 4
Incipit du couplet Y me souvé quand y'étais jeune homme / Y'étais valet chez Berluzia
Texte saisi Oui
Texte de la chanson 97/131 BERLUZIA Y me souvé quand y'étais jeune homme Y'étais valet chez Berluzia O l'était do gens à la mode Do gens comme t'chu on s'en fait pas Sitôt qu'lo crevés une vache un baudet Au lieu de prendre une palle tot d'suite Faire un cru et pi do l'enrocher Lo métiant dans l'charner bé vite Pour o faire manger au valet. Un matin que y'étais dans l'aire Y vit venir une grosse auto On l'était le vétérinaire Qui venez pour voir le chevaô Le dit qu'lé fourbu cré bé qu'lé foutu Berluzia tua l'chevaô tout d'suite Le sala dans un grand chaudron Pour le jour de la mécanique Et t'chu qui fra do bouillon. Y v'la t'y pas que la belle-mère De Berluzia un biau matin Tomba malade d'une manière Qu'o fallu cri le médecin Qu'il dit pi pas la guérir Cré bé qu'elle va mourrir Puis voit Berluzia qui s'amène Il li dit mon gars je t'avoue Y m'en va d'chez vous cette semaine Y'es cru qu'l'allait en devenir fou. Pis le v'là qui s'mit en petrasse En me traitant de méchant gueux Faut que te quitte ta piasse D'un jour qui sont si malheureux Que dis Berluzia ne vous fachez pas Y veux bé manger vos ouailles vos chèvres Tout ce qui crève dans votre maison Mais si faut qui bouffe votre belle-mère Yé grand pou d'une indigestion.
Coupe M
Genre sur un timbre

Propriété et enquête

Informateur(s) Mallet Camille (Ernest Henri) ;
Preneur(s) de son Boureau Marie-Josèphe ;
Enquête Arexcpo en Vendée-Association Culturelle du Pays Mareuillais
Collection(s) Arexcpo en Vendée ; Association Culturelle du Pays Mareuillais ;
Fonds Arexcpo en Vendée ;

Conservation numérique

Conservateur(s) OPCI-EthnoDoc ;
Support audio 01.28.07.97 -
Date : 28 juillet 1997
Compteur de la séquence Début : 426/471 - Durée : 00:02:30

Inventaire et consultation

Clé du document 111373
Inventaire 1997 - 131
Cote de consultation RADdO 085_01_1997_0131mi
Catégorie Pièce musicale inédite (chanson, musique,...)
Niveau de consultation consultable
Responsable de saisie Ethnodoc
Format de consultation MP3 (.mp3)
Lien de l'extrait / miniature numérique https://raddo-ethnodoc.com/archive/111373 [QR Code]
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