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RÉSEAU D'ARCHIVES ET DE DOCUMENTATION DE L'ORALITÉ

Base d'archives ethnographiques


A dix-huit ans


Cette Pièce musicale inédite a pour titre "A dix-huit ans". Elle provient de Saint-Sulpice-le-Verdon.

Détails de l'archive

Titre A dix-huit ans
Origine du titre : Analyste
Note chantée à la veillée
Localisation Saint-Sulpice-le-Verdon (Plus d'informations sur Wikipedia)
Montréverd (Plus d'informations sur Wikipedia)
Vendée (Plus d'informations sur Wikipedia)
France (Plus d'informations sur Wikipedia)
Territorialité(s) : Terres de Montaigu ;
Informateur(s) Garreau Hélène (Marie Maximilienne) - Naissance : Mormaison 10/06/1924

Oeuvre

Oeuvre Référence Ethnodoc : EA-00523 - Quand sera le jour où j'aurai tes amours
Laforte : non-référencée - *
Coirault : Quand s'ra le jour où j'aurai tes amours - 004715
Thème : 0047 - Le mariage - I Repoussées ou agréés : demandes en mariage
Résumé : Un beau dimanche, j'men vais voir ma maîtresse, au coin du feu nous étions tous les deux, je lui ai dit : Ma petite mignonne, quand s'ra le jour où j'aurai tes amours ? Elle l'invite à demander à son père. Refus : ma fille est tro jeunette.
Mots Clé : fontaine(s) - incendie, feu - amour(s), amourettes, - fille(s), fillette(s) - maîtresse -
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Résumé Homme dont la mie est trop jeune pour pouvoir se marier
Expression(s) chanson avec réponse ;
Usage d'après l'informateur circonstance : amour, séduction ;
Nombre de couplets 7
Incipit du couplet A 18 ans, j'avais bien des maîtresses / Mais à présent, je n'ai que des malheurs
Texte saisi Oui
Texte de la chanson 96/175 A DIX-HUIT ANS A dix-huit ans, j'avais bien des maîtresses Mais à présent, je n'ai que des malheurs De tout côté, le monde m'y délaisse Ma bien-aimée m'a refusée son coeur J'étais pourtant hier soir auprès d'elle Au coin du feu, nous causions tous les deux Quand je lui dit mon aimable maîtresse Quand viendra l'jour où j'aurai tes amours Ah pour celà parlez en à mon père S'il en convient, moi je le veux bien Le beau galant s'en fut trouver le père S'était assurément pour lui à en parler A dix-huit ans, ma fille elle est trop jeune La marier, je puis m'en dispensé A dix-huit ans, ma fille elle est trop jeune A dix-huit ans, retire-toi galant J'm'y suis retiré d'un cabaret dans l'autre Toujours pleurant ma chère bien-aimée J'ai tant pleurer, j'ai tant versé de larmes Trois p'tits ruisseaux auraient pu y couler Trois p'tits ruisseaux font une grande rivière Trois p'tits moulins auraient pu y tourner L'un pour le seigle, l'autre pour le froment Celui d'ma mie est cent fois plus joli Toutes ses filles qui ont l'air si belles Sont parfois sujettes au changement Elles voudraient bien ressembler à la lune Changer d'amant douze fois dans un an
Genre strophique

Propriété et enquête

Informateur(s) Garreau Hélène (Marie Maximilienne) ;
Preneur(s) de son Bertrand Jean-Pierre ; Remaud Sophie ;
Enquête Arexcpo en Vendée-C.C. Rocheservière
Collection(s) Arexcpo en Vendée ; C.C. Rocheservière ;
Fonds Arexcpo en Vendée ;

Conservation numérique

Conservateur(s) OPCI-EthnoDoc ;
Support audio 01.15.11.96 -
Date : 15 novembre 1996
Compteur de la séquence

Inventaire et consultation

Clé du document 110919
Inventaire 1996 - 175
Cote de consultation RADdO 085_01_1996_0175mi
Catégorie Pièce musicale inédite (chanson, musique,...)
Niveau de consultation consultable
Responsable de saisie Ethnodoc
Format de consultation MP3 (.mp3)
Lien de l'extrait / miniature numérique https://raddo-ethnodoc.com/archive/110919 [QR Code]
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