Détails de l'archive
Titre |
L'on vient à ma porte à minuit (L'amant qui retrouve sa belle à minuit)
Origine du titre : Enquêté |
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Localisation |
Villard-sur-Doron
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Savoie (Plus d'informations sur Wikipedia) France (Plus d'informations sur Wikipedia) |
Informateur(s) |
PERRIER
Marius
- Naissance :
PERRIER Louise - Naissance : |
Langue | Français |
Oeuvre
Oeuvre Référence |
Ethnodoc :
EA-02603
-
Qui frappe à ma porte à minuit
Laforte : Le retour du soldat : la nuit à la porte de sa maîtresse - II, I-20 Coirault : Qui frappe à ma porte à minuit? - 003710 Thème : 0037 - La séparation : abandons - Retour? Résumé : Qui frappe à ma porte ? On mène tapage, on fait grand bruit? C'est la voix de ton amant, lève-toi bien promptement, Nanon, c'est la voix de ton berger qui revient de l'armée. Je te croyais mort à l'armée. Mots Clé : armée - congé - Fanchon, Fanchette - garçon, gars - malheur, malheureux(se) - pleur(s), pleurer - porte(s) - roi, reine - Voir la liste des oeuvres |
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Expression(s) | voix seule ; |
Nombre de couplets | 7 |
Incipit du couplet | L'on vient à ma porte à minuit |
Texte saisi | Oui |
Texte de la chanson | L?on vient à ma porte à minuit L?on frappe et l?on fait bien du bruit. Je me lève tout doucement C?est la voix de mon amant. Qui vient parler à mon c?ur Me dit : « N?ayez point peur » Ouvre ta porte sans frayeur Voici ton jeune serviteur. Qui s?en vient de l?Italie A ta porte qui languit. Ouvre-lui tout promptement C?est ton fidèle amant. C?est donc toi mon cher amant Que j?ai pleuré il y a si longtemps Tant de fois que je t?ai pleuré Te croyant mort à l?armée. Te croyant mort au trépas Au milieu du combat. Te souviens-tu il y a trois ans Que tu m?embrassais en partant Tu m?as dit console-toi Je t?écrirai sur ma foi. Si tu m?avais bien aimé Tu m?aurais consolé. La belle pour te consoler J?étais, j?étais trop éloigné En passant par l?Italie Je fus fait le prisonnier J?aurais bien voulu ton c?ur T?annoncer mon malheur A présent que je suis de retour Je viens te donner le bonjour Avec ma liberté Mon congé très bien signé Si tu veux mon tendre coeur Je ferai ton bonheur Pour Margot nous marier Il faut, il faut bien nous aimer. Car quand on est marié Il faut se retirer Il faut avoir du souci Et adieu les plaisirs. |
Propriété et enquête
Informateur(s) | PERRIER Marius ; PERRIER Louise ; |
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Enquête | C.G. Haute-Savoie |
Collection(s) | C.G. Haute-Savoie ; |
Fonds | JACQUIER Jean-Marc ; |
Conservation numérique
Conservateur(s) | Conseil Général de Haute-Savoie ; |
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Support audio |
CD 2011_1_057_B
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Date : 12 décembre 1976 |
Compteur de la séquence | |
Plage de la séquence | 33 |
Inventaire et consultation
Clé du document | 188269 |
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Inventaire | 2012 - 272 |
Cote de consultation RADdO | 074_01_2012_0272mi |
Catégorie | Pièce musicale inédite (chanson, musique,...) |
Niveau de consultation | consultable |
Responsable de saisie | Conseil Général de Haute Savoie |
Format de consultation | MP3 (.mp3) |
Lien de l'extrait / miniature numérique | https://raddo-ethnodoc.com/archive/188269 [QR Code] |